« L’adulte erre »
Le rapace, croit, vil au dessus des villes, au dessus de sa proie, il se déplace,
De l’aire, une disgrâce, il ne manque pas d’air, Râ, elle brûlera ses ailes, place,
Derrière des murmures, porteuse, elle érige devant cette citadelle, audace,
Sûr de lui, il ne voulait laisser de traces, cela sera-t-il efficace ce dur volte-face,
Il a tant dans sa besace, sans basses besognes, il veut vider le sac, il l’entrelace,
Lent, il, sous sa carapace, face à face avec lui, il ne sait quoi dire, l’essuie-glace,
Petit poids dans la cervelle, il réfléchit, pieds et mains liés, il se lasse, grimaces,
Irraisonnable, ses pensées, il doit effacer, ces idées, il doit replacer avec grâce,
Des idées fixes, l’aube est lisse, qu’assurant tous risques, des asterixs, pugnace,
A sec, sans essence, carburant, dis, elle, Joe attendra son taxi, après la menace,
D’un son de klaxon, illuminés ses phares, il mène en bateau, le phare fugace,
Rame, pas gai, avis rond, en vogue d’une vague, que de mousse, il suit sa trace,
Des scènes, bavant sur elle, rampant, laissant traces, papillonne, vilaine limace,
Faisant croire en monts et merveilles, argenté, tu veux faire croire son palace,
Sot, avec ton sceau, tu signes, rempli de tes mensonges, c’était écrit, dédicace,
Saut après saut, avec élan, yeux de biche, petit enfant, tu resteras sur place,
Me détachant, si faits, une ligne de mire, tu te crois propre, Monsieur salace,
En réalité, tu pues le fauve, ta bestialité, je nettoie, vers en soi, je remplace,
Un florilège de sacrilèges, qui me laisse de glace, inefficace et reste vivace,
Con, des comportements, sentiments et évènements qui me laissent loquace,
Ne trouvant plus d’espace, pain perdu, je trempe le biscuit et deviens fouace,
Maintenant, nan, tais-toi, rab, laid, tenace, tu es perspicace devant la populace,
Oh, lutte acharnée, des coups sur ton cou après de bas coups, ce sera pancrace,
Sûr, sur le port, après tant de galères, amant, aimant, mets les voiles, galéace,
Soufflant, dans le vent, mistral n’est pas tous les jours gagnant, cela m’agace…
...
Frédéric Reboul
Le rapace, croit, vil au dessus des villes, au dessus de sa proie, il se déplace,
De l’aire, une disgrâce, il ne manque pas d’air, Râ, elle brûlera ses ailes, place,
Derrière des murmures, porteuse, elle érige devant cette citadelle, audace,
Sûr de lui, il ne voulait laisser de traces, cela sera-t-il efficace ce dur volte-face,
Il a tant dans sa besace, sans basses besognes, il veut vider le sac, il l’entrelace,
Lent, il, sous sa carapace, face à face avec lui, il ne sait quoi dire, l’essuie-glace,
Petit poids dans la cervelle, il réfléchit, pieds et mains liés, il se lasse, grimaces,
Irraisonnable, ses pensées, il doit effacer, ces idées, il doit replacer avec grâce,
Des idées fixes, l’aube est lisse, qu’assurant tous risques, des asterixs, pugnace,
A sec, sans essence, carburant, dis, elle, Joe attendra son taxi, après la menace,
D’un son de klaxon, illuminés ses phares, il mène en bateau, le phare fugace,
Rame, pas gai, avis rond, en vogue d’une vague, que de mousse, il suit sa trace,
Des scènes, bavant sur elle, rampant, laissant traces, papillonne, vilaine limace,
Faisant croire en monts et merveilles, argenté, tu veux faire croire son palace,
Sot, avec ton sceau, tu signes, rempli de tes mensonges, c’était écrit, dédicace,
Saut après saut, avec élan, yeux de biche, petit enfant, tu resteras sur place,
Me détachant, si faits, une ligne de mire, tu te crois propre, Monsieur salace,
En réalité, tu pues le fauve, ta bestialité, je nettoie, vers en soi, je remplace,
Un florilège de sacrilèges, qui me laisse de glace, inefficace et reste vivace,
Con, des comportements, sentiments et évènements qui me laissent loquace,
Ne trouvant plus d’espace, pain perdu, je trempe le biscuit et deviens fouace,
Maintenant, nan, tais-toi, rab, laid, tenace, tu es perspicace devant la populace,
Oh, lutte acharnée, des coups sur ton cou après de bas coups, ce sera pancrace,
Sûr, sur le port, après tant de galères, amant, aimant, mets les voiles, galéace,
Soufflant, dans le vent, mistral n’est pas tous les jours gagnant, cela m’agace…
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Frédéric Reboul